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Nonobstant la crise économique le comité d’organisation de la 8e édition de la coupe Jean Jacques BOUYA que préside Monsieur Jean Didier ELONGO a tenu le Pari. Du 28 Juin au 4 Juillet la localité de Tongo, dans le district de Tchikapika, dans le département de la cuvette était en fête.
Des équipes de Nzango et de Football venues presque de tous les départements du pays ont fait le déplacement de la terre Tongo. Dans l’amour, la paix et le fair-play les fils et filles de ces différents départements ont rivalisé d’ardeur à la grande satisfaction des populations de Tongo et d’autres personnalités venues vivre la réalité du Festi Cup.
Tongo la bourgade qui tendait à disparaitre il y a de cela 10ans est entrée dans l’histoire du Congo grâce au Festi Cup Jean Jacques BOUYA un peu comme la ville de Cannes en France avec son mythique Festival. La renaissance de la localité de Tongo est effective car, hier avec de moins de 20 habitants a l’âge de voter.
Aujourd’hui c’est plus de 400 personnes qui se sont précipités aux urnes pour voter leur député et beaucoup d’enfants à bas âge. Une trentaine d’entre eux ont passé leur premier examen d’Etat le C.E.P.E cette année. De 2007 à 2017 a dit Jean Didier ELONGO Président coordonnateur de Festi Cup, beaucoup de choses ont été faites, Tongo s’est transfiguré et métamorphosé. Le plus grand souvenir restera le brassage culturel des fils et filles du Congo venus de tous les horizons, qu’ils soient autochtones ou Bantou, Gangoulou ou Mbochi, Téké ou Kongo, Dondo, Bémbé ou Vili a renchéri le président Jean Didier ELONGO, qui dit avoir atteint l’objectif.
Excellent festival sportif et culturel.
Outre le Football le sport roi et le Nzango autour desquels est bâti le Festi Cup Jean Jacques BOUYA, ce festival est un moment important pour la valorisation de la culture congolaise. Les groupes musiciens et folkloriques tels les Favelas Star, Moyi ontso, Ntémo Kongo, Ekongo et Kilombo Kiampala ont chaque soir captivé l’attestation de la population et tous ceux qui ont fait le déplacement de Tongo dans le district de Tchikapika ce district cher au député Jean Jacques BOUYA.
En sus, les Tongolais et tous ceux qui croient en ce festival ont eux droit à un tournoi culinaire, une course des piroguiers sur la rivière Alima et à un semi marathon. Ainsi donc, après 7 jours d’attraction et de compétition, les résultats suivants ont été enregistrés en final : Football l’équipe de Bombée a été sacré championne de la 8e édition après avoir battu celle de Kinkala sur un score étriqué d’un but à zéro (1 - 0)
En Nzango, les dames de la détente de Oyo sont sacrées championnes après avoir battu les dames de AS BGM.
Au semi Marathon dont le départ a été donné dans la localité de Obessi et l’arrivée à Tongo, soit 12,5km Okoueke Mael chez les hommes a remporté avec une performance de 37’ 17’’ 87. Il est de l’Inter de Brazzaville. Chez les dames Mahoungou Loubondo a remporté avec une performance de 54’ 24’’ 84 elle est de la délégation de Nkayi.
Quant à la course des piroguiers, le couple Ngatsono Riche et Ngayon Androchique ont gagné avec une performance de 2’ 27’’ 01 ils sont de la localité de Léboula dans la cuvette. En individualité, Ibaka Hugues de la localité de Bounda a remporté avec une performance de 3’ 09’’ 09.
S’agissant du tournoi culinaire plusieurs mets ont été présentés. Il y a eux entre autres le Ngoki de la cuvette, les trois pièces du Pool et le Ngulu Mako du Niboland.
Le Festi Cup une affaire de tous
En toutes choses, il y a toujours eux un initiateur ou un pionnier mais après l’œuvre doit être récupérée par la société. Festi Cup ne devrait pas resté la charge de Jean Didier ELONGO seul. Le gouvernement, les partenaires au développement et autres bienfaiteurs sont appelés à booster cette œuvre qui à dire vrai est une richesse sportive, culturelle et touristique pour la nation congolaise, même pour l’Afrique.
Le Festi Cup et le vivre ensemble
Loin du vivre ensemble dont on nous rabâche les oreilles en longueur des journées, à telle enseigne qu’il semble devenir un slogan, à Tongo, lors de Festi Cup, c’est le vrai vivre ensemble. Dans un pays où la réalité a placé le peuple
Nonobstant la crise économique le comité d’organisation de la 8e édition de la coupe Jean Jacques BOUYA que préside Monsieur Jean Didier ELONGO a tenu le Pari. Du 28 Juin au 4 Juillet la localité de Tongo, dans le district de Tchikapika, dans le département de la cuvette était en fête.
Des équipes de Nzango et de Football venues presque de tous les départements du pays ont fait le déplacement de la terre Tongo. Dans l’amour, la paix et le fair-play les fils et filles de ces différents départements ont rivalisé d’ardeur à la grande satisfaction des populations de Tongo et d’autres personnalités venues vivre la réalité du Festi Cup.
Tongo la bourgade qui tendait à disparaitre il y a de cela 10ans est entrée dans l’histoire du Congo grâce au Festi Cup Jean Jacques BOUYA un peu comme la ville de Cannes en France avec son mythique Festival. La renaissance de la localité de Tongo est effective car, hier avec de moins de 20 habitants a l’âge de voter.
Aujourd’hui c’est plus de 400 personnes qui se sont précipités aux urnes pour voter leur député et beaucoup d’enfants à bas âge. Une trentaine d’entre eux ont passé leur premier examen d’Etat le C.E.P.E cette année. De 2007 à 2017 a dit Jean Didier ELONGO Président coordonnateur de Festi Cup, beaucoup de choses ont été faites, Tongo s’est transfiguré et métamorphosé. Le plus grand souvenir restera le brassage culturel des fils et filles du Congo venus de tous les horizons, qu’ils soient autochtones ou Bantou, Gangoulou ou Mbochi, Téké ou Kongo, Dondo, Bémbé ou Vili a renchéri le président Jean Didier ELONGO, qui dit avoir atteint l’objectif.
Excellent festival sportif et culturel.
Outre le Football le sport roi et le Nzango autour desquels est bâti le Festi Cup Jean Jacques BOUYA, ce festival est un moment important pour la valorisation de la culture congolaise. Les groupes musiciens et folkloriques tels les Favelas Star, Moyi ontso, Ntémo Kongo, Ekongo et Kilombo Kiampala ont chaque soir captivé l’attestation de la population et tous ceux qui ont fait le déplacement de Tongo dans le district de Tchikapika ce district cher au député Jean Jacques BOUYA.
En sus, les Tongolais et tous ceux qui croient en ce festival ont eux droit à un tournoi culinaire, une course des piroguiers sur la rivière Alima et à un semi marathon. Ainsi donc, après 7 jours d’attraction et de compétition, les résultats suivants ont été enregistrés en final : Football l’équipe de Bombée a été sacré championne de la 8e édition après avoir battu celle de Kinkala sur un score étriqué d’un but à zéro (1 - 0)
En Nzango, les dames de la détente de Oyo sont sacrées championnes après avoir battu les dames de AS BGM.
Au semi Marathon dont le départ a été donné dans la localité de Obessi et l’arrivée à Tongo, soit 12,5km Okoueke Mael chez les hommes a remporté avec une performance de 37’ 17’’ 87. Il est de l’Inter de Brazzaville. Chez les dames Mahoungou Loubondo a remporté avec une performance de 54’ 24’’ 84 elle est de la délégation de Nkayi.
Quant à la course des piroguiers, le couple Ngatsono Riche et Ngayon Androchique ont gagné avec une performance de 2’ 27’’ 01 ils sont de la localité de Léboula dans la cuvette. En individualité, Ibaka Hugues de la localité de Bounda a remporté avec une performance de 3’ 09’’ 09.
S’agissant du tournoi culinaire plusieurs mets ont été présentés. Il y a eux entre autres le Ngoki de la cuvette, les trois pièces du Pool et le Ngulu Mako du Niboland.
Le Festi Cup une affaire de tous
En toutes choses, il y a toujours eux un initiateur ou un pionnier mais après l’œuvre doit être récupérée par la société. Festi Cup ne devrait pas resté la charge de Jean Didier ELONGO seul. Le gouvernement, les partenaires au développement et autres bienfaiteurs sont appelés à booster cette œuvre qui à dire vrai est une richesse sportive, culturelle et touristique pour la nation congolaise, même pour l’Afrique.
Le Festi Cup et le vivre ensemble
Loin du vivre ensemble dont on nous rabâche les oreilles en longueur des journées, à telle enseigne qu’il semble devenir un slogan, à Tongo, lors de Festi Cup, c’est le vrai vivre ensemble. Dans un pays où la réalité a placé le peuple
sur deux points cardinaux, le nord et le sud en lieu et place des quatre points cardinaux. Le nord et le sud l’est et l’ouest, il est admirable de savoir que les délégations de Nkayi, Kinkala ou Mossendjo ont fait le déplacement de Tongo dans le district de Tchikapika, dans le département de la cuvette.
Des jeunes et même des vieux étaient heureux de côtoyer les compatriotes d’autres coins du pays. Ils ont dansés, chantés et mangés ensemble. Des adresses ont été échangées, chapeau bas à Jean Didier ELONGO qui malgré la conjoncture économique actuelle a tenu le pari d’organiser cette 8e édition du Festi Cup.
Cap sur la 9e édition
La 9e édition s’annonce belle parce que l’homme sur qui repose le festival, c'est-à-dire Jean Jacques BOUYA a en live vécu l’événement. En campagne électorale dans le district de Tchikapika où il est candidat aux élections législatives de 2017, cet homme qu’on appelle « le bras droit » a passé deux jours à Tongo. Il a palpé du doigt la réalité de ce festival qui porte son nom a juré n’est plus manqué à ce rendez-vous.
Il y a lieu de noter également la présence à ce festival de deux grandes dames, la ministre du plan Ebouka Babakas qui a également promis de mettre la main à la patte et de la conseillère du Chef de l’Etat en charge de la culture et des arts Lydie PONGAULT. La 9e édition c’est demain, il revient donc au comité d’organisation du Festi Cup de mettre les bouchées doubles pour que la neuvième édition soit plus que la huitième. Il ne faut jamais attendre la dernière minute, même si quelque fois dans l’improvisation on réussit.
