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PLACÉ SOUS LE THÈME DE L'AUTORISATION DE LA FEMME
LE 115e ANNIVERSAIRE DE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE LA FEMME A ÉTÉ CÉLÈBRE PARTOUT À TRAVERS LA PLANÈTE
Au Congo, outre la cérémonie officielle parrainée par la première dame, Antoinette Sassou Nguesso à Djambala, dans le département des Plateaux, plusieurs structures et organisations ont organisé dans la ville capitale ladite célébration.
C'est le cas des femmes affiliées au Syndicat national libre de l'Université (SYNALU) assistées de leurs camarades hommes, qui se retrouvées en la grande salle de la présidence de l'Université, non pas pour fêter le pagne, plutôt échanger, partager sur les conditions de la femme à l'université. D'où la pertinence du sous thème choisi:"la place des femmes aux portes de responsabilité à l'université Mariën Ngouabi de 1977 à 2025". Thème exposé avec maestria par Mme Mamono Ngolo, Me Assistante CAMES et M. Niama Célestin, Me des Conférences CAMES.
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Les deux orateurs, ont de prime à bord rappelé la genèse de cette journée qui remonte à partir des mouvements sociaux dans les Amériques et l'Europe.
Abordant le thème proprement, les orateurs ont planché sur les raisons qui ont emmené à l'institutionnalisation de cette journée dite des droits de la notamment la lutte pour l'égalité ou l'équité. Ils ont en outre rappelé les progrès réalisés pour les droits des femmes.
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Faisant le bilan des postes de responsabilité à l'université Mariën Ngouabi, il ressort que les femmes ont déjà occupés des hauts postes .
Cependant, dans cette lutte, les conférenciers ont fait remarquer les différents obstacles qui bloquent la promotion des femmes aux hauts postes de responsabilité. Ce sont entre autres la peur, les préjugés, le manque de modèles. Les femmes, ont-ils martelé se sous-estiment elles-mêmes.
En définitive, les conférenciers ont recommandé à l'auditoire, du reste dominé par les hommes, d'encourager les femmes et de promouvoir l'égalité dès le bas âge.
Bref, l'homme doit respecter la femme et la femme doit se faire respecter.
A LA DIRECTION GÉNÉRALE DE L'ALPHABÉTISATION Mme LAURE ALPHONSINE N'A PAS DÉROGÉ A LA RÈGLE
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DES KITS DE DÉMARRAGE ONT ÉTÉ DISTRIBUÉS AUX APPRENANTS AUX DIFFÉRENTS CENTRES D'ALPHABÉTISATION
Ainsi, Mme Laure Alphonsine Yoka Okondo et l'ensemble de son personnel viennent de donner un signal fort pour l'autonomisation de la femme en général, de la jeune fille en particulier.
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La directrice générale entend perpétuer cette action par l'élaboration d'un document
a t-elle dit.